J’aime ces instants d’un quotidien bien rôdé où mon regard en mouvement perpétuel se fige.
Comme ici en plein service hier soir, je rentrais d’un aller-retour à la réception et la quiétude de ce moment de service m’a soudain arrêté. Je suis resté là, à observer discrètement quelques minutes.
Le ballet est presque toujours le même mais une année très chargée est sur le point de se terminer, la 28 em pour moi !
Les acteurs changent, tournent, les anciens deviennent encore plus anciens, les nouveaux ont l’air de plus en plus jeunes, mais les sourires et l’envie de bien faire, de donner toujours et encore pour ce magnifique pays, pour l’équipe, pour Vous qui bravez les éléments pour vous balader au pays des lémuriens restent toujours forts et sincère quoi qu’on en dise.
Alors moteur….

LE DERNIER MONDE PERDU DE MADAGASCAR
Situé au Sud-Ouest de Madagascar, le massif du Makay s’étend sur 4 000 km2. C’est un splendide labyrinthe de profonds canyons abritant une biodiversité unique. Au fond de vallées profondes de plusieurs centaines de mètres, des forêts humides rappellent celles, sempervirentes, de l’Est malgache, alors que les zones entourant le Makay sont des steppes arbustives. Aussi, les forêts du Makay abritent à la fois des espèces qui lui sont uniques et d’autres, endémiques de Madagascar, disparues ou menacées ailleurs sur l’Île. Cette situation fait du Makay un véritable coffre-fort de la biodiversité.

GÉOGRAPHIE
Le massif du Makay se trouve dans le Sud Ouest de l’Île de Madagascar. Il s’étend sur plus de 4000 km2 et sur deux grandes régions : Atsimo-Andrefana (sur le district de Beroroha) et Menade (sur le district de Mahabo). Au sud de ce château d’eau de la région s’écoule le plus long fleuve de Madagascar : le Mangoky.

Le Makay est un massif de 150 x 50 km, d’une superficie de 4000 km2 et composé des produits de l’érosion d’immenses massifs de roches cristallines disparus il y a déjà plusieurs centaines de millions d’années. Il s’agit de l’une des œuvres de la nature les plus monumentales qui soit.
Au sein des différents écosystèmes présents à Madagascar subsistent quelques zones très peu explorées, peu exploitées et à faible densité humaine, avec de fortes chances d’y faire de nouvelles découvertes. Même à Madagascar, peu de gens connaissent l’existence du relief ruiniforme caractéristique du Makay.

UN MASSIF VASTE
Ce massif de grès jaunes, situé dans le Centre-Ouest de l’Île, est constitué de hauts plateaux encore couverts, pour partie, par de la forêt ou de la végétation arbustive/herbacée typique des milieux secs de l’Ouest malgache. Une érosion très importante a entaillé ces plateaux de profonds canyons, qui contiennent quant à eux une végétation humide semblable à celle des forêts sempervirentes de l’Est de Madagascar. La vie s’est toutefois développée dans ces vallées qui se trouvent à plusieurs centaines de mètres de profondeur, en autarcie totale pendant des millions d’années : on y trouve en effet toutes les niches écologiques possibles.
Ces biotopes, isolés et dispensés de toute observation humaine, ont permis à des groupes d’animaux et de végétaux ancestraux de se différencier, au point d’enfanter de nouvelles espèces.
Le Makay est ainsi devenu un véritable coffre-fort de la nature, un sanctuaire d’espèces parmi les plus curieuses de la planète. Son isolement et les particularités de son relief ont constitué jusqu’à récemment un frein pour la mise en application d’études scientifiques.

Mais s’il a pu jusqu’ici profiter de son relief pour préserver ses trésors, la progression des feux de brousse à Madagascar menace désormais tous les jours davantage la survie du massif. En effet, des feux de brousse sont régulièrement observés aux abords du massif, mais aussi en son sein ; dévastant ce que la nature a mis plusieurs millions d’années à créer.
Le Makay est situé au Nord de la rivière Mangoky, à cheval sur deux régions : Atsimo-Andrefana et Menabe, à environ 100 km de la côte Ouest à l’intérieur des terres malgaches. Cette région de 4000 km2, culminant à 1034 m, s’étend sur 150 km entre la localité de Beroroha dans le Sud à celle de Malaimbandy dans le Nord ; et elle fait moins de 40 km de large.
Le massif inclut une partie des têtes de bassins versants des fleuves Mangoky, Maharivo, Morondava et Tsiribihina. Il est caractérisé par des méandres sinueux sculptés par des rivières qui ont creusé de profonds canyons escarpés montant jusqu’à 400 m le long de hautes falaises rebondies, et qui forment un enchevêtrement complexe de vallées encaissées et de monts inaccessibles.

De nombreuses espèces ne se rencontrent que dans un seul bassin versant, et ce fort taux d’endémisme, voire de micro-endémisme, les rend particulièrement vulnérables aux pressions environnementales.
Le lémurien, animal emblématique de Madagascar a trouvé refuge dans les forêts du Makay. Peut-être plus ici qu’ailleurs sur l’île, la difficulté d’accès de l’intérieur du massif a garanti aux lémuriens d’y avoir été laissé relativement tranquille. On ne trouve aujourd’hui pas moins de dix espèces de lémuriens diurnes et nocturnes dans le Makay, ce qui en fait l’écosystème malgache abritant la plus grande diversité d’espèces de ce prosimiens. Mais le lémurien est loin d’être le seul à habiter le Makay…

Plusieurs scénarios ont été proposés pour expliquer l’origine des Lémuriens, Tenrec, Fossa et autres animaux emblématiques de Madagascar comme notamment la théorie des radeaux dérivants. Cette théorie pose comme hypothèse que des évènements rares à notre échelle de temps, comme le transport accidentel d’animaux par des radeaux naturels, deviennent de facto fréquents et potentiellement efficients à l’échelle des temps géologiques. Cette hypothèse, largement débattue dans la communauté scientifique, est actuellement soutenue par des modèles paléo-océanographique et paléo-géographique permettant de reconstituer les positions successives de Madagascar lors de sa dérive et l’évolution de l’orientation des courants marins lors de la genèse du canal du Mozambique jusqu’à aujourd’hui.

Le Makay habrite une flore unique. Du Canarium au Pandanus en passant par le Tapia, ces espèces végétales sont le refuge des espèces animales du Makay. Du fond des canyons humides jusqu’au sommet des crêtes, la flore a su s’adapter à des conditions très rudes.
La majorité des villageois du Makay se définissent comme cultivateurs, même si pour la plupart d’entre eux ils sont aussi (et pour certains avant tout) éleveurs.

LE RAPPORT AU ZÉBU
Le zébu constitue pour le peuple malgache la principale richesse et représente un excellent placement, bien plus sûr et pratique qu’un placement bancaire. Le fait de posséder un troupeau est un signe extérieur de richesse et de puissance ; mais sa valeur est en réalité fondée davantage sur des critères de relations sociales que sur les seuls critères de productivité économique. Dans certains endroits, l’importance sociale d’un individu et/ou d’une famille est encore plus ou moins directement proportionnelle au nombre de zébus qui peuvent être sacrifiés lors de différentes pratiques culturelles. Effectivement, il est souhaitable de posséder un grand nombre de bêtes pour satisfaire aux rituels coutumiers qui doivent avoir lieu lors de multiples occasions.



le fosa seul félin a MADAGASCAR

Les Bara (= ethnie qui peuple le pourtour du Makay) sont essentiellement des éleveurs de zébus ; ce qui les démarque des autres ethnies de Madagascar.
La propriété des terres de cultures ou de pâturages n’est pas régie par un cadastre mais par le droit coutumier. Néanmoins, certaines terres inaccessibles (c’est le cas pour beaucoup des terres qui se trouvent à l’intérieur du Makay) n’appartiennent à personne ou personne ne les revendique réellement.

Madagascar inspire les voyageurs, les emmène au-delà du rêve, les immerge dans un univers naturel et culturel, unique et merveilleux.
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